La cigarette électronique est apparue en France vers la fin des années 2000. Depuis, le marché s'est considérablement développé et s'est imposé comme un moyen efficace de sevrage tabagique parmi les autres substituts nicotiniques déjà sur le marché comme les patchs, les chewing-gums, l'acupuncture et les médicaments. Le geste identique du fumeur, comme s'appellent les sensations dans la gorge après avoir consommé une cigarette de tabac, facilite le processus de sevrage. Dans cet article, nous aurons plus de détails sur cette manière d'arrêter de fumer.
La cigarette électronique : un moyen sûr d'arrêter de fumer
Depuis plusieurs années, la cigarette électronique fait l'objet de nombreuses polémiques. Souvent, les non-vapoteurs ont tendance à avoir des réserves sur la qualité des produits contenus dans les e-liquides et les effets qu'ils peuvent avoir sur la santé. Continuons la lecture pour en savoir plus. Au cours des derniers mois, le public a été victime de nombreuses fausses nouvelles.
Aujourd'hui on sait exactement ce qui sort d'une cigarette électronique car la fabrication des appareils et des e-liquides est totalement maîtrisée. Il faut juste faire attention à ne pas consommer de produits dont on ne sait pas d'où viennent les matières premières. Les fabricants de cigarettes électroniques peuvent avoir du mal à s'établir car ils ont besoin de gagner de nouvelles parts de marché auprès d'un public non-fumeur.
Le vapotage est donc perçu comme un loisir par une grande partie de la population. Au contraire, vapoter est en fait un moyen d'arrêter de fumer et non un accessoire récréatif. Il n'y a pas non plus d'effet d'entrée via la cigarette électronique au tabac, puisque selon le baromètre publié en 2019 par l'autorité sanitaire française, l'Agence nationale de la santé, qui est sous tutelle du ministère de la Santé, moins de 1% des fumeurs n'ont jamais fumé.
L'introduction de la cigarette électronique en France : une efficacité qui ne peut plus être prouvée
Toujours selon Santé Publique France, un baromètre publié cette fois le 28 mai 2018, la cigarette électronique est le premier secours au sevrage tabagique pour 26,9% de la population, suivie par les substituts nicotiniques classiques (18,3%) et enfin l'usage d'un médecin ou d'un autre professionnel de la santé (10,4 %). L'efficacité de la cigarette électronique pourrait enfin ne plus être prouvée tant le nombre de consommateurs ne cesse de croître.